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Recherche par auteur : Orsenna, Erik

29 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:1h. 39min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:65435
Résumé: « Sans esprit de sérieux mais sérieux en tout ce qu'il touche, Erik Orsenna se montre tel qu'en lui-même dans ce recueil sur-vitaminé d'images et d'idées. Chez lui, l'humour est ami de la profondeur. Écrivain-voyageur, reporter d'inquiétude et parfois de colère, grammairien anti-jargonnant, vénérable curieux invétéré, cet éternel jeune homme en habit vert est un caméléon du savoir. Et plus il sait, plus il partage. C'est un professeur qui parle à voix douce, et comme tous les conteurs, il vous entraîne là où il a choisi de vous emmener, de la banquise du Grand Nord au grand froid des prisons, des frontières de l'Europe à la forêt de Zika où règnent d'inquiétants moustiques. Toujours apprendre, toujours comprendre, ce pourrait être la devise de ce mousquetaire des mots qui n'est jamais si heureux qu'en sortant de lui-même pour y trouver de quoi nous rassasier, nous émouvoir, nous épater. »
Durée:2h. 50min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34664
Résumé: Sur le quai de la gare, son père lui avoue enfin : leur famille est ruinée. La crise a frappé durement, le couple divorce et doit vendre la maison. Sébastien se retrouve seul, envoyé dans un collège de province dirigé par des Jésuites, fidèles de Loyola, à la poigne de fer. Confronté à la cruauté de ses camarades et aux échos effrayants de la guerre, Sébastien fera sa propre éducation.
Durée:13h. 28min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12518
Résumé: Madame Bâ, née Marguerite Dyumasi, descendante de la caste des forgerons et de celle des traditionnistes, est inquiète. Son petit-fils Michel, possédé par le démon du ballon rond, s'est laissé entraîner en France, loin des rives nourricières du fleuve Sénégal et de la chaleur de Kayes, au nord-ouest du Mali, la région où elle a vu le jour. Probablement a-t-il lui aussi été touché par la maladie du départ, celle qui frappe le peuple Soninké depuis la nuit des temps ? Peu importe, Madame Bâ ne laissera pas le jeune Michel seul entre les griffes d'entraîneurs peu scrupuleux. Mais comment faire pour le rejoindre, les visas sont si difficiles à obtenir ? Déjà, sa demande a été rejetée. Une ultime solution s'impose : écrire au président de la République française. Mais pour lui expliquer qui elle est, les quelques lignes du formulaire n° 13-0021 sont bien dérisoires... Comment ranger dans des cases la vie si complexe d'une Africaine ? Madame Bâ s'applique à raconter au président ses origines, sa famille, sa vie de femme aimante et jalouse, son travail au service du développement, puis de l'éducation de son pays...
Durée:11h. 31min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:28540
Résumé: Voulez-vous les dernières nouvelles du Mali ? Madame Bâ Marguerite se propose de vous y emmener. Cette dame, qui n'est pas humble de nature, se prend pour une Grande Royale, une Jeanne d'Arc africaine. Elle veut libérer son pays des djihadistes et c'est son petit-fils, ex-footballeur devenu griot, qui raconte sa campagne mi-glorieuse, mi-désespérée. Sur les pas de ce duo, vous rencontrerez les femmes échappées de justesse aux horreurs de la charia. Vous découvrirez l'économie très puissante et très illégale dont vit grassement le Sahara. Vous ferez connaissance avec des petits capitaines, soldats d'opérettes, terrorisés par les combats. Vous tomberez sous le charme de leurs épouses prédatrices, frénétiques de la Visa Premier. Vous remonterez le fleuve Niger en évitant toutes sortes de périls. Vous verrez comment et pourquoi bandits et djihadistes s'entendent comme larrons en foire. Vous saluerez des musiciens et des tisserands, inlassables créateurs des liens qui fabriquent un pays. Vous atteindrez juste à temps Tombouctou pour assister à l'arrivée des Français... Surtout, vous plongerez dans la réalité du Mali, sa vaillance, sa noblesse. Mali, ô Mali'. Comment ne pas comprendre que ta fragilité est la nôtre ?
Lu par:Richard Lemal
Durée:8h. 3min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69931
Résumé: Ce volume est consacré à la place des animaux dans la mondialisation au prisme de l'unité du vivant. Le cochon, le chameau, le pangolin ou encore la pieuvre sont autant d'exemples utilisés pour illustrer ce qui lie la santé de l'être humain à celle de ces animaux, sauvages ou domestiques, souvent pris dans les flux des échanges commerciaux mondiaux.
Durée:3h. 15min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:11032
Résumé: "A Versailles, souvent je tends l'oreille, rêvant de retrouver une amitié, une conversation quotidienne et qui dura trente-cinq ans. Entre Louis XIV et André Le Nôtre. Le monarque le plus puissant à qui tout doit céder, même le temps. Et l'homme de la terre, le saisonnier, celui qui reste du côté de la nature, même s'il la force comme personne avant lui. Ensemble ils ont écrit le plus grand livre du monde mille hectares -, le roman du Soleil incarné. La seule histoire occidentale qui impressionnait Quianlong, l'empereur de Chine, le créateur du jardin de la Transparence parfaite."
Lu par:Udrea Vulcan
Durée:4h. 25min.
Genre littéraire:Sciences/technologie
Numéro du livre:13588
Résumé: Passionné de mer, Érik Orsenna a suivi le plus grand courant du monde, le Gulf Stream, qui conditionne la vie quotidienne sur les rives de l'Atlantique, du Mexique au Pôle Nord. Où naît le courant, où il se déploie en vastes bras, où il tourbillonne, où il se dissout : des Caraïbes aux Lofoten, cela donne un récit de voyage fort contrasté. Nous nous promenons donc. Mais nous nous instruisons. Nous apprenons comment se forme une vague, comment fonctionnent les marées, comment la salinité de la mer a modelé nos vies. L'auteur a rencontré les meilleurs scientifiques, à l'Institut du Pôle, à Ifre mer, aux États-Unis, où il a interrogé le « pape » des courants. Le ton, comme toujours chez Érik Orsenna, se veut léger et plaisant, mêlant excitation intellectuelle et humour.
Durée:9h. 55min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:19437
Résumé: « Un jour, je me suis dit que je ne l'avais jamais remercié. Pourtant je lui devais mes lectures. Et que serais-je, qui serais-je sans lire et surtout sans avoir lu ? Pourtant, c'est sur son dos que chaque matin, depuis près de soixante années, je tente de faire avancer pas à pas et gomme aidant mes histoires. Et que serait ma vie sans raconter ? Je n'avais que trop tardé. L'heure était venue de lui rendre hommage. D'autant qu'on le disait fragile et menacé. Alors j'ai pris la route. Sa route. De la Chine à la forêt canadienne, en passant par la Finlande, la Suède, la Russie, l'Inde, le Japon, l'Indonésie, Samarcande, le Brésil, l'Italie, le Portugal et bien sûr la France, j'ai rendu visite aux souvenirs les plus anciens du papier. Mais je me suis aussi émerveillé devant les technologies les plus modernes, celles qui, par exemple, arrivent à greffer des virus capables de tuer les bactéries, celle qui, grâce à des impressions électroniques, permettent de renseigner sur le parcours d'un colis les chocs qu'il a reçus et si les conditions d'hygiène et de froid ont tout du long bien été respectées. Cher papier ! Chère pâte magique de fibres végétales ! Chère antiquité en même temps que pointe de la modernité ! La planète et le papier vivent ensemble depuis si longtemps : plus de deux mille ans. Le papier est de la planète sans doute le miroir le plus fidèle et par suite le moins complaisant. »
Durée:6h. 19min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:14226
Résumé: Cette histoire commence dans la nuit des temps. L'espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton. Le coton est le porc de la botanique : chez lui, tout est bon à prendre. Et c'est ainsi que le coton vêt l'espèce humaine. Il ne s'en tient pas là : compresses médicales, films photographiques, produits cosmétiques, insecticides... Pour ceux que ces manipulations angoissent, revenons à notre mère nature, à la paix des choses simples. Après la récolte, les tiges et les branches du cotonnier deviendront les litières pour les animaux. Ou bien les paysans les brûleront, faute de meilleurs combustibles. Voyager, c'est glaner. Au XVIIIe siècle, sitôt retrouvée la terre natale, les navigateurs plantaient les végétaux collectés aux quatre coins du globe dans un jardin dit 'des retours'...